Lifestyle Nico Perez : « simple et chambreur »

3 minutes
© Nico Perez

C’est l’une des personnalités fortes de notre championnat. A 34 ans et après huit saisons passées en BGL Ligue, Nicolas Perez est toujours l’un des visages de la BGL Ligue. L’attaquant marseillais de l’UNA Strassen se confie sur son style sur les terrains comme en dehors. 

Où fêter les victoires ?

À la buvette du club, quand c’est à la maison, avec tout le monde et ma femme et mes enfants, qui sont souvent là.

La chanson qui tourne en boucle dans ta playlist ? 

En ce moment, je suis dans du PNL : La misère est si belle.

Best plat ever ?

Les pâtes à l’ail, avec sauce tomate, bien sûr. Pas la sauce à l’huile d’olive, non, sauce tomate à l’ail.

Ta destination pour des vacances idéales ?

Je ne vais pas dire les Maldives parce qu’il n’y a rien de fou à part les paysages. Je dirais la Polynésie française. 

Le film qui te fait pleurer à chaque fois ?

Je suis un émotif, je verse une larme sur pas mal de choses. Mais si je dois citer un film, ce serait N’oublie jamais. Je suis un ancien. (rires)

Le maillot que tu rêverais d’avoir ?

Un maillot de Benzema au Real Madrid. Je suis un fan ultime de ce joueur. Peu importe l’année, mais si je devais choisir, ce serait celle où il a gagné le Ballon d’or et brillé en Ligue des Champions.

La meilleure musique pour l’entrée sur le terrain ?

Je suis marseillais, donc je reste dans du classique : celle du Vélodrome, Jump de Van Halen.

Ta morning routine ?

Un dimanche de match, je me lève entre 7h30 et 8h30, je fais une petite promenade avec mes enfants, puis je rentre et je prends un brunch gentiment préparé par madame. Ensuite, petite sieste avec musique et étirements, puis direction le foot.

Combien de tatouages ?

J’en ai 21, quasiment tous petits, du pied jusqu’au trapèze.

Comment définirais-tu ton style en dehors du terrain ?

Je dirai simple et chambreur.

Et sur le terrain ?

Un peu fou. J’ai le sang chaud, je râle beaucoup, même dans ma tête, et je n’ai pas la langue dans ma poche.

Qui met l’ambiance dans le vestiaire ?

Il y a Koray (Özcan), Daryl (Myre) et moi. Quoique Daryl est plus tranquille parfois. Il y a aussi Vova. Et après, tout le monde suit un peu, mais ceux-là ressortent le plus, on va dire.

Quels sont : ton défaut bien connu et ta qualité injustement méconnue ?

Mon défaut bien connu :  les efforts défensifs, comme beaucoup d’attaquants. Et ma qualité injustement méconnue : ma détente et mon timing à la tête. Beaucoup sont surpris quand ils me voient prendre beaucoup de ballons sur des grands défenseurs, alors que je l’ai depuis très longtemps.

Quelle est la question à laquelle tu aurais bien aimé répondre mais qu’on ne t’a jamais posée ?

Si ta vie était un film, quel en serait le titre ? 

Thomas Kauffmann

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