Avec près d’une décennie passée dans le monde professionnel dans cinq pays différents et 56 sélections avec les Rout Léiwen, Chris Philipps est une figure du football grand-ducal sur ces dernières années. Il revient avec nous sur des moments marquants de sa carrière.
Quel est ton plus beau souvenir sur un terrain ?
C’est le premier titre que j’ai gagné : la Coupe de Pologne en 2018. Le coup de sifflet final à la fin du match, c’était vraiment fort en émotion. C’est clairement le plus beau moment en club. Et d’un point de vue émotionnel, le plus beau dans ma carrière internationale, c’était le coup de sifflet final à Toulouse, quand on a fait 0-0 contre la France. C’était particulier.
Un match dont tu te rappelles particulièrement ?
Je dirais le match de Coupe de Pologne contre Gdynia, et le match contre la France à Toulouse.
Dans quel club as-tu signé ta première licence ?
C’était à Harlange-Tarchamps.
Quel est ton club de cœur ?
Au Luxembourg, c’est Wiltz, car je suis né là-bas et ça fait longtemps que j’y suis, même si j’ai commencé à Harlange. Et depuis tout petit, je suis fan du Bayern Munich, comme toute ma famille !
Quel est ton pire souvenir dans le football ?
Le match de barrage de cette année, contre Canach à Ettelbruck. Même si on n’avait pas fait une grande saison, je pensais qu’on allait se maintenir. Après les tirs au but, quand ils ont marqué le dernier, c’était le pire moment.
Quel est le joueur le plus fort avec ou contre lequel tu as joué ?
Je dirais Florent Malouda, durant ma période à Metz. C’est celui chez qui on voyait le plus qu’il avait touché au très haut niveau. Et le plus fort contre lequel j’ai joué ? Neymar, sans hésiter.
Et l’entraîneur qui t’a le plus appris ?
Mon entraîneur en U19 au FC Metz, Olivier Perrin.
Quelle est la meilleure ambiance que tu aies connue ?
Pratiquement tous les matchs à domicile quand j’étais au Legia, c’était quelque chose de particulier. Les ultras, c’est exceptionnel en Europe. Mais si je dois choisir, je dirais la finale de la Coupe de Pologne, dans le stade national à Varsovie. Il y avait 65 000 personnes, quasiment que des supporters de notre club. C’était très fort. Je me souviens aussi du match avec le Luxembourg en Belgique à Genk en 2014. L’ambiance là-bas était vraiment pas mal.
Dans quel club aurais-tu rêvé de jouer ?
Mon club de cœur, forcément le Bayern Munich. Mais sinon, j’aurais bien aimé découvrir un autre championnat, même si ça ne s’est jamais fait.
Quelle a été jusqu’à présent la meilleure période de ta carrière ?
Je dirais la première année à Varsovie. On a gagné le titre et j’étais titulaire indiscutable. Surtout la saison 2017-2018, j’ai fait une bonne phase individuellement, et je pense que c’était la saison la plus aboutie pour moi au niveau professionnel.
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