On a testé… Zero Latency, le nouveau concept de réalité virtuelle au Luxembourg

Mercredi, la rédaction de Moien! est allé passer une heure dans les locaux de Zero Latency, le nouveau concept qui vous plonge dans un jeu de réalité virtuelle. Voici ce qu’on en a pensé.

En février 2022, Zero Latency, concept de réalité virtuelle originaire d’Australie et présent dans des dizaines de pays du monde entier, débarque au Luxembourg, plus précisément à Mersch. Le projet, porté par Daniel et ses trois associés, est attirant, alors on a décidé d’aller tester cela pour pouvoir le juger de nos propres yeux.

À notre arrivée et avant même de démarrer le jeu, une petite formation d’une dizaine de minutes dispensée par Daniel, sans laquelle nous n’aurions certainement rien compris. Sécurité, règles et astuces pour s’en sortir du mieux possible, rien n’est mis de côté et nous pouvons ensuite enfiler nos combinaisons avant d’entrer dans une immense salle vide pour trente minutes d’immersion totale.

Équipés d’une arme (factice évidemment) reliée à une combinaison ainsi que d’un casque VR, nous avions choisi le jeu Far Cry : Dive Into Insanity parmi les huit options possibles. La célèbre franchise de jeu vidéo nous plongeait ainsi sur Sunny Rook Islands, à l’endroit même où tout le groupe avait été capturé par Vaas et son armée d’hommes de main. Pour se libérer, il fallait ainsi que les cinq membres de notre groupe bataillent contre des centaines d’hommes et de créatures en les abattant avec les deux armes à notre disposition (un fusil d’assaut ou une arbalète, pour les fans de Daryl dans The Walking Dead).

En guise de réaction d’après-match, voici les mots de Thibaut (deuxième en partant de la gauche), qui a terminé premier de ce duel à cinq : « C’était une expérience vraiment immersive. Les sensations sont là, on a l’impression que tout est réel alors que c’est virtuel. On se rend mieux compte en testant du potentiel de la technologie de la réalité virtuelle. Ça nous laisse imaginer qu’on pourrait bientôt avoir nos sens encore plus stimulés avec des odeurs par exemple… » D’ailleurs, cette session d’une demi-heure n’est pas de tout repos puisque « physiquement, il fallait quand même se bouger ! Ça fait transpirer et le jeu est vraiment prenant. Les bruitages et l’atmosphère font qu’on ne joue plus seulement au jeu, on est dans le jeu » poursuit Thibaut, qui terminera en toute humilité avec « la satisfaction à titre personnel d’avoir remporté ce duel ».

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