Daniel Castro : « Des équipes viennent de Belgique, de France et d’Allemagne ! »

L’associé-gérant du centre de réalité virtuelle Zero Latency de Mersch revient sur la première édition de la VR-League. Des débuts qui ravissent Daniel Castro et sa jeune équipe.

Daniel, comment se déroulent les débuts de la VR-League lancée en septembre dernier ?

On a commencé le 15 septembre, et il y a 16 équipes de 3 à 5 joueurs qui participent. Pour une première année, c’est déjà pas mal ! On est très contents. Et on est aussi très heureux de pouvoir compter sur nos partenaires, nos sponsors. J’aimerai d’ailleurs mentionner Tango Luxembourg et les remercier à nouveau de faire partie de cette aventure. Depuis le départ ils nous ont fait confiance. 

Sur quel jeu s’affrontent les compétiteurs ? 

Sur Sol Raiders, c’est notre jeu en PvP.  Toute la ligue se déroule sur ce jeu.

Comment se déroule une journée de compétition type ?

Les capitaines des 16 équipes font partie d’un groupe WhatsApp, et ils discutent ensemble afin de savoir quand est-ce qu’ils sont disponibles pour venir disputer leurs matchs officiels. Le 15 décembre cette première phase sera terminée et 8 des 16 équipes vont passer au tour suivant. Et les finales auront lieu en février. 

Quel est le profil des concurrents ?

Il y a une grande diversité de personnes. On a des policiers, des étudiants par exemple, on a un vraiment un gros mélange de gens différents et cela fait une belle compétition. 

Que remportera le gagnant ?

Le gagnant remporte 1500€, le deuxième 750€, et 500€ pour le troisième. Puis les deux meilleures équipes luxembourgeoises représenteront le pays en Italie à Milan en avril prochain lors d’une grande compétition. 

Quelle équipe occupe la tête actuellement ? 

C’est 4Blood, ils ont gagné chacun de leur match jusqu’à présent. Ils ont gagné toutes les parties, toutes les manches! 

Il y a des équipes qui viennent ailleurs que du Luxembourg ? 

On a des équipes qui viennent de Belgique, de France et d’Allemagne ! On est très européen au Luxembourg avec beaucoup de frontaliers, et c’est cool car des fois on parle français, des fois portugais, parfois en anglais. 

Pour la prochaine édition, vous ambitionnez d’accueillir encore plus d’équipes ? 

On a déjà fait une liste d’attente pour les nouvelles équipes. Mais on reste ouverts à d’autres équipes si elles veulent venir passer le test pour pouvoir faire partie de la ligue. A partir du moment ou beaucoup d’équipes veulent s’inscrire, on est obligé de faire un tri avant. Il faut qu’on soit un peu sélectif, et on les fait jouer les uns contre les autres afin de voir qui est le plus ambitieux afin d’intégrer la ligue. 

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